Cartes postales anciennes
Maneyrol
« Au dernier cri du cycle »
Maneyrol, l’homme à tout faire. Aucune technique ne lui était étrangère. Son enseigne n'en citait que quelques unes : zinguerie, pompes, agence de cycles, moto-cycles Peugeot et autres marques, vente échange, réparation, installation d’appareil à acétylène, dépositaire des journaux La Dépêche et la petite Gironde, café et j’en oublie sûrement. Il était fier devant sa boutique. Le petit garçon au premier plan est Georges Biraben. Si vous reconnaissez d’autres personnes, n’hésitez pas à le faire savoir
« Le départ du courrier »
Le bureau de Poste avait été inauguré peu de temps auparavant. Le mphotographe avait réuni pour assister au départ du courrier, la fille du maire, Suzanne Biraben, et son cousin germain Maurice Biraben, celui qui deviendra maire de Belvès de nombreuses années plus tard, Maneyrol évidemment sans qui rien ne se faisait à Soumensac. On remarque aussi qu'à cette époque, les maisons éaient toujours couvertes de vigne ou de glycine. On n'avait pas peur de la végétation. Pas de fleurs d'ornements, celles qui sont là pour faire joli, mais une harmonie dans la rue.
« Au dernier cri du cycle »
Maneyrol, l’homme à tout faire. Aucune technique ne lui était étrangère. Son enseigne n'en citait que quelques unes : zinguerie, pompes, agence de cycles, moto-cycles Peugeot et autres marques, vente échange, réparation, installation d’appareil à acétylène, dépositaire des journaux La Dépêche et la petite Gironde, café et j’en oublie sûrement. Il était fier devant sa boutique. Le petit garçon au premier plan est Georges Biraben. Si vous reconnaissez d’autres personnes, n’hésitez pas à le faire savoir
« Le départ du courrier »
Le bureau de Poste avait été inauguré peu de temps auparavant. Le mphotographe avait réuni pour assister au départ du courrier, la fille du maire, Suzanne Biraben, et son cousin germain Maurice Biraben, celui qui deviendra maire de Belvès de nombreuses années plus tard, Maneyrol évidemment sans qui rien ne se faisait à Soumensac. On remarque aussi qu'à cette époque, les maisons éaient toujours couvertes de vigne ou de glycine. On n'avait pas peur de la végétation. Pas de fleurs d'ornements, celles qui sont là pour faire joli, mais une harmonie dans la rue.
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