26 février 2010
Vent contraire à l'association Marguerite Duras !
Liste Alain Rousset (PS)
23 février 2010
Un souffle nouveau à l'Association Marguerite Duras en 2009
L’association Marguerite Duras a tenu récemment son Assemblée Générale. C’était l’occasion de revenir sur un bilan 2009 extrêmement riche en évènements comme l’a souligné la presse locale : notamment Le Républicain, le Petit Journal et Sud-Ouest.
L’Association a développé son activité tout au long de l’année, organisant des manifestations durant l’hiver, au printemps et pendant la pleine saison touristique de l’été, jouant ainsi pleinement son rôle d’animateur culturel exigeant et pour tous les publics. Son action a largement débordé les limites du canton participant à des projections jusqu’à Agen et même en Gironde et Dordogne. Les manifestations ont été variées : projections cinématographiques d’ « un barrage contre le Pacifique » de Rithy Panh, animation de plusieurs débats avec les acteurs et le metteur en scène du film, rencontres universitaires autour de l’œuvre de Marguerite Duras sur le thème « ces maisons d’où sortent les livres », salon du Livre avec pour la première fois un café littéraire et un espace restauration, « une innovation à retenir pour les prochaines années » note le rédacteur du Petit-Journal, et enfin au mois d’août, dans le cadre somptueux de la cour intérieure du château, « Les Lectures de Duras » avec Claire Deluca,
Toutes ces manifestations payantes ont été réalisées dans le cadre d’un budget en équilibre, grâce à un accueil très favorable d’un public nombreux et payants : plusieurs centaines de spectateurs tout au long de l’année qui sont venus parfois de loin assister aux spectacles qui tous constituent autant d’ambassadeurs de Duras dans toute la France et au-delà. Car la culture c’est approcher une œuvre mais c’est aussi se rapprocher d'une ville, d'une région et de ses habitants. Les libraires présents au Salon du Livre ont été particulièrement heureux d’avoir doublé leur chiffre d’affaires par rapport à l’année précédente !
Cette première expérience va se poursuivre en 2010, avec une Association toujours plus ouverte et accueillante aux bonnes volontés qui veulent développer des activités culturelles de qualité à la hauteur de Duras, de son château et de l’écrivain qui a porté le nom de cette petite ville dans le monde entier. Une universitaire parisienne Joëlle Pagès-Pindon vient d’ailleurs de rejoindre le Conseil d’Administration pour y jouer un rôle actif et développer encore plus toutes ces activités. Nous ne manquerons pas de vous en reparler tout au long de cette année prometteuse.
22 février 2010
Elections régionales
14 février 2010
Des nouvelles d'un couple de vieux soumensacais
Relevé dans la Dépêche du midi
« Seule la mort pourra nous séparer »
A la maison de retraite « Le Bois Vert », à Lardenne, au Sud-Ouest de Toulouse, on les a surnommés : « les amoureux ». Rita et Jean Grelot se promènent toujours main dans la main dans les couloirs de l'établissement. Mariés depuis le 9 avril 1942, soit depuis 68 ans, « en pleine guerre, annonce Jean, j'étais prisonnier des Allemands et j'avais réussi à me faire libérer. » « On avait fait un petit festin, se souvient Rita. J'avais une robe blanche avec une traîne. Mais c'est loin tout ça », ajoute-t-elle. Ils ont eu une fille en 1944, Marie-Josiane.
Originaire de Soumensac, en Lot-et-Garonne, cet adorable petit couple vit en maison de retraite depuis l'été dernier. Dans la même chambre. « Ce n'est pas à nos âges qu'on va nous séparer. Seule la morte pourra le faire », s'entête Jean.
Très complices et attentionnés, ils se donnent de petits tapes sur les doigts. Roger et Rita n'oublient jamais le bisou du coucher et celui d'avant le petit-déjeuner. C'est celui qui y pense le premier qui le fait. « Et parfois, elle me dit : Eh, t'as oublié le bisou », plaisante Jean. Et Rita de répondre aussitôt : « Franchement, ça me fait très plaisir que tu m'embrasses ! Et si tu ne m'en faisais plus, je me demanderais à qui tu vas les faire… »
Leur conseil : « Le bonheur, ça se construit à deux. Il ne faut jamais tirer à la couverture à soi. Quand il y a des chicanes, il faut apaiser les choses de suite. »
12 février 2010
La classe de l'école de Soumensac en 1949
04 février 2010
"Je désigne des volontaires !"
L’administration de l’agriculture ne recule devant aucune nouveauté pour justifier sa bureaucratie (combien sont-ils d’ailleurs comparés aux 800 000 exploitants) et trouver de nouveaux moyens de prélever de l’argent.