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09 novembre 2018

Les travaux d'assainissement

Les travaux avancent dans le village. Le rocher épais de plus 1,50 m par endroit ne facilite pas le travail !

Marques au sol : à chacun sa couleur





La pelle au travail



La tranchée

La station d'épuration

04 mai 2017

Vide Grenier de Soumensac Photos


Du monde, de quoi déguster les produits locaux.. Malheureusement le soleil s'est retiré un peu tôt !
Le reportage photographique d'Objectif Duras : cliquez ici



18 décembre 2015

Monsieur Soumensac

Les années 30 voyaient passer à Soumensac beaucoup d'écrivains. Germaine Beaumont, première femme a avoir obtenue le prix Renaudot a fait partie de ces visiteurs. Elle est repartie en emmenant ce nom qu'elle a donné au héros de cette charmante petite nouvelle. Décidément, dans la région, les femmes de lettres aiment bien s'approprier les noms de lieux !


15 janvier 2015

Les Pyrénées depuis les Promenades

Oui, je sais, ce n'est pas très clair. Mais quand même, c'est loin (190 km !)


09 janvier 2014

Les Pyrénées vues des promenades

Le 6 janvier dernier, au matin, les Pyrénées sont apparues comme cela se produit souvent en hiver le matin ou le soir. Voila ce qu'on pouvait voir depuis les promenades : la chaine sur plus d'une centaine de kilomètres avec au centre le point le plus haut le Pic du Midi de Bigorre qui culmine à 2876 mètres. C'est beaucoup. Mais comment se fait-il qu'on voit cette montagne alors que 190 kilomètres à vol d'oiseau nous séparent des Pyrénées et que la rotondité de la terre nous empêche de les voir directement ? 


L'explication nous a été apportée par un fidèle lecteur du blog : Robert White. Il s'agit d'un effet de courbure de la lumière. Par temps froid, la densité de l'air au sol et la température qui sont grandes diminuent progressivement avec l'altitude ce qui a tendance à rabattre la lumière. Ainsi, une personne qui regarde à l'horizon dans ces conditions voit plus loin que la normale. Cela est causé par la courbure vers le bas que prennent les rayons lumineux. Le même phénomène se produit quand on voit la Corse vue de Menton : c'est bien elle qu'on voit, mais on la voit à un endroit différent de l'endroit où elle est réellement (peu différent dans ce cas, le schéma exagère considérablement les choses : non respect des angles et distances !) voir explications sur le site hhttp://rpmenton.pagesperso-orange.fr/Corse/VoirLaCorse.htm

18 juin 2011

La journée des Griottes : mercredi 22 juin 2011 à Saussignac


L 'ASSOCIATION LES GRIOTTES  propose

8h : mise en forme : exercices de qi gong  au pied du château, rendez-vous devant la salle vitrée.
10h30 : contes, lecture et petit atelier de percussions  ( salle vitrée )
12h00 : pique-nique et pétanque près de l'église
15h à 18h : Renépaul présentera les activités peinture, sculpture et modelage et prendra les inscriptions pour les ateliers de septembre  ( salle vitrée )
18h30 : projection du film documentaire de Coline Serreau  

   " Solutions locales pour un désordre global " suivie d'un petit buffet et d'un débat .
  
 " Caméra au poing, Coline Serreau a parcouru le monde pendant près de trois ans à la rencontre des femmes et des hommes de terrain qui expérimentent un peu partout avec succès de nouveaux systèmes de production agricole , réparant les dégâts environnementaux et proposant une vie et une santé améliorée en garantissant une sécurité alimentaire pour tous "

Pour toute information ou proposition, vous pouvez contacter :
Françoise    au 05 53 24 50 01
Renépaul pour les activités peinture   au 06 32 37 97 12

05 janvier 2011

EXCLUSIF : les Pyrénées vues depuis Soumensac

Beaucoup d'entre vous ont entendu, sur les promenades de Soumensac raconter l'histoire des Pyrénées. Les gens du village s'arrêtent à la croix et vous disent : d'ici on voit les Pyrénées. Vous n'y croyez pas. On vous disait comme Francois Mauriac "A une  certaine heure d’un certain moment de l’année,  dans un certain éclairage… quel miracle de se trouver précisément là, découvrant les Pyrénées, ces montagnes qui ne se montrent que quand il n’y a personne".

"Et pourtant un jour, ce n'est qu'un cri on voit les Pyrénées ! on voit les pyrénées et chacun de courir vers la terrasse pour saisir l’imperceptible dentelure de la chaine".

Cet évènement s'est produit le lundi 27 décembre dernier. Il a duré presque toutes la journée. Capucine Giron et Robert White ont pris les photos ci-dessus qui convaincront les plus sceptiques. Oui on voit les Pyrénées depuis Soumensac comme depuis la terrasse de Malagar. A gauche de la première photo, vous pouvez discerner le pic du midi de Bigorre et ses névés distant de 192 kilomètres ! Incroyable n'est-ce-pas et pourtant vrai.


Attention il faut regarder avec attention sur l'horizon. La photo n'a pas été retouchée avec photoshop. Pour ceux qui regardent le blog avec un portable, inclinez légèrement l'écran vers l'avant, la polarisation accentuera le contraste

25 décembre 2010

23 décembre 2010

Anglaises dans le Sud-Ouest


Lu dans
Accueil

Maria-Louise Sawyer dans son jardin (DR)

Au début des années 2000, des milliers de Britanniques se sont installés dans les campagnes françaises, notamment dans le Sud et en Poitou-Charentes. Ils rêvaient de « la belle vie » à la française. Depuis, les réalités de l'expatriation et la crise les ont frappées de plein fouet. Délaissées par leurs maris, esseulées, certaines sont aujourd'hui en grande difficulté.
A 53 ans, Maria-Louise Sawyer survit. En 2002, elle quitte la Grande-Bretagne pour une vie paisible en France avec son mari Carol Peter. Depuis, cette Britannique originaire du Devon a déchanté.
Six ans après son installation au lieu-dit La Leigne, dans les environs d'Angoulême (Charente), elle trouve chez elle un mot : « Je suis parti. » Son domicile saccagé. De la nourriture sur les murs, ses vêtements lacérés, son compte en banque vidé. Aujourd'hui, Maria-Louise ne dépense pas plus de 20 euros par semaine pour ses repas.
Son cas n'est pas isolé. Pour venir en aide à ses compatriotes, abandonnées dans l'Hexagone, elle a créé un blog, Waif, Women Alone in France (« Femmes seules en France », en anglais, l'acronyme signifie aussi « enfant abandonné »). Plus de 1 000 personnes l'ont déjà contactée. Au programme : écoute, soutien, conseils juridiques et aide aux formalités administratives. Son histoire a été narrée dans presse britannique, du Daily Mail au Times.

Maria-Louise a « toujours rêvé d'habiter en France ! »

Avec le recul, Maria-Louise pense que le naufrage de son mariage est dû à un problème d'intégration :
« J'avais 45 ans, je travaillais en tant qu'agent immobilier indépendant. Je vendais des maisons à des Anglais bien sûr, mais aussi à d'autres étrangers et quelques Français. »
Maria-Louise apprend la langue, sympathise avec des Français. Quand son mari, un retraité de 67 ans, ne cherche pas à s'intégrer. « Je devais lui traduire la conversation quand nous recevions des amis. Il se sentait exclu. »
En juin 2005, Carol Peter est victime d'un accident vasculaire. Peu à peu, il devient alcoolique. Le 8 mars 2008, sans crier gare, il rentre en Angleterre.
Après vingt-six ans de mariage, Maria-Louise Sawyer doit refaire sa vie. Sans enfants, sans famille -fille unique, parents décédés- sans travail. A 50 ans passés, ses diplômes en biologie et littérature ne lui sont d'aucun secours :
« J'ai toujours travaillé. Mais, vu le marché, je ne pouvais plus continuer dans l'immobilier. On me propose quelques missions d'intérim comme des inventaires, de nuit. Je touche en moyenne 150 euros de RSA, selon ce que j'ai gagné dans le mois. »
Maria-Louise vit avec moins de 400 euros par mois. L'emprunt de sa maison lui en coûte 300. Elle ne mange parfois qu'un yaourt par jour. Pourtant, elle ne cherche pas à rentrer au pays. « J'ai toujours rêvé d'habiter en France ! »

« Les émissions de télé vantaient la qualité de vie en France »

Les femmes qui demandent de l'aide à Maria-Louise ont aussi bien 30 ans que 70 ans. Beaucoup ne parlent pas ou très peu français. Leur point commun ? Elles imaginaient le pays des mangeurs de grenouille comme un havre de paix :
« Il y a dix ans, de nombreuses émissions de télé vantaient le climat, la qualité de vie et même le faible taux de criminalité en France ! »
D'où une arrivée massive de British sur la Côte d'Azur, en Dordogne, en Charente ou en Bretagne. Le hic : certains se sont révélés plus cigales que fourmis.
Heather Davey (DR)Heather Davey, 47 ans, vit à Saint-Germain-de-Longue-Chaume, dans les Deux-Sèvres. Divorcée, mère de deux ados, elle est arrivée dans la région en 2007 ; avec David, son nouveau compagnon. Retraités, ses parents l'ont suivi :
« David pilotait de petits avions. Il devait rénover notre maison, achetée par mon père. Et créer des gîtes sur nos 83 hectares de terrain. Il n'a jamais rien fait, à part dilapider notre argent. »
Son compagnon l'a quitté au bout de deux ans, en la laissant sans ressources, avec 1 700 euros d'électricité à payer.

Heather touche le RSA pour garder la tête hors de l'eau

En Angleterre, Heather gérait le service clients d'un magazine. Titulaire d'un « printing degree » (diplôme non reconnu en France), elle garde des animaux domestiques à domicile (en anglais, « house sitting ») avec le statut d'autoentrepreneur.
En septembre, elle n'a gagné que 25 euros. RSA, allocations familiales et aide de ses proches lui permettent de garder la tête hors de l'eau. « C'est si difficile quand on a rien ! »
De nombreux couples ont suivi la même démarche. Acheter une maison dans un village agréable (le taux de l'euro leur était alors favorable), la rénover et profiter de leurs économies ou leur retraite.
Crise, configuration du marché du travail français, barrière de la langue, isolement géographique, taux monétaires défavorables… Face aux difficultés, beaucoup d'hommes sont rentrés. Seuls.

« Les hommes ont plus de mal avec la langue, ils sortent peu »

Avocat anglophone et conseiller du Waif, Jean-Michel Camus ne passe pas une journée sans apporter une aide juridique à un(e) Anglais(e) :
« J'ai des clients britanniques depuis vingt ans. Dans les années 90, on voyait des retraités s'installer dans le Sud-Ouest. Depuis 2000, des familles emménagent dans l'Ouest. Le mari fait des allers-retours pour son travail. »
S'il conseille plus de femmes que d'hommes, il ne conclut pas à une réalité sociologique. Quant à la supposée inconscience des nouveaux arrivants -qui vivent de leur bas de laine- il la nuance.
De son côté, Angela Simmons, psychothérapeute et chroniqueuse au FrenchPaper, avance une hypothèse prudente. S'il semble y avoir plus d'épouses délaissées que de maris, cela pourrait s'expliquer par le fait que « généralement, les hommes ont plus de difficultés avec la langue. Ils sortent peu, se renferment… et ont plus facilement le mal du pays. »
Photos : Maria-Louise Sawyer dans son jardin, Heather Davey (DR)
►Mise à jour 19 décembre 2010 à 16h44. Précision sur la presse britannique, qui a déjà évoqué la situation de Mme Sawyer.
Ailleurs sur le Web

03 mars 2010

Nouvelles de la Vallée du Ciron

Un blog ami dont je vous recommande la lecture

http://www.vallee-du-ciron.com/Documents/Nouvelles/Nouvelles.htm


Vous trouverez de passionnantes informations sur la région, les manifestations, l'agriculture biologique, etc.



25 janvier 2009

Inondations à Eymet







Après la tempête qui a abattu de nombreux arbres les cours d'eau sont sortis de leur lit comme le Dropt à Eymet

26 décembre 2008

White christmas

Noël sous la neige
Obviously the picture of a white christmas has been shooted by Robert White from the White House. No it's not where Barrack Obama will live but it's where Robert and Penny have their home.
Traduction :
Evidemment cette photo a été prise par Robert Blanc de la Maison Blanche non pas celle où habitera Maison (baraque oups !) OBAMA mais ou Robert et Penny ont La Blancharde.

07 octobre 2008

Montgolfières
Suivez le lien ci-desous et découvrez le pays de Duras vu de Mongolfière. Superbes images
http://paysdeduras.canalblog.com/

10 octobre 2007

90éme Comice Agricole d'Allemans du Dropt
On se serait cru chez Flaubert en Lot et Garonne. Il y a grande affluence. Il faut dire qu'il n’y manque rien : un député, Pedro, un taureau de 1212 kilos qui sera justement récompensé, le taureau pas le député, des blondes d’Aquitaine, une Conseillère Générale brune, des jeunes pétaradants sur leurs chevaux mécaniques nettement plus bruyants et polluants que leurs frères et sœurs de race animale sagement alignés le long des bas-côtés de la route, des tracteurs en présentation, énormes machines qui sont au vieux Ferguson ce que Pedro -déjà nommé- est à un teckel, un manège qui déverse une musique à faire tourner les enfants et des marchands qui offrent leurs produits du terroir en testant des recettes pour les futurs marchés de l’été. Un animateur fait cracher la sono et annonce que le Sous-Préfet remettra le prix de la plus belle blonde, du plus gros taureau, du plus bel âne... On espère voir mais en vain un édile tapoter le cul d’une vache. N’est pas Chirac qui veut. Nous ne sommes pas en Corrèze ni au Salon de l'Agriculture mais à Allemans sur les bords du Dropt. Il fait beau ce dimanche.

31 janvier 2007

Enfin l'hiver


(Reportage photographique Annie Collin-David)

Pour ceux qui croient que Soumensac, c'est toujours l'été et les pique-niques ensoleilés sous les tilleuls des promenades, jetez un coup d'oeil à ces quelques photos.







Profitons-en. Si dans quelques années on ne fait rien contre le dérèglement climatique, ce sera toujours l'été ! Ce serait dommage pour la beauté et surtout la VIE.






Béchade avec la neige à perte de vue et une nouvelle station de ski à .... La Boissière ?

16 janvier 2007


Pas toujours facile d'arriver à Soumensac


Extrait de Sud-Ouest :

BERGERAC-LIBOURNE. -- Les clients de cette ligne entre la Dordogne et la Gironde pestent contre divers dysfonctionnementsLes habitués du train bergeracois grognent
: Isabelle Sarran-Barrière


Hier à Bergerac. Les voyageurs se plaignent des nombreux retards des TER et des correspondances ratées PHOTO I. S.-B.
Sa carte de « grand voyageur » à la main, Geneviève Finkelstein fulmine. « S'ils veulent supprimer les TER, qu'ils le disent, et qu'ils le fassent ! » Cette Bergeracoise fait l'aller-retour en train Bergerac-Paris chaque semaine depuis douze ans. « Une fois sur deux, je rate ma correspondance à Libourne », explique-t-elle. « Les TER sont toujours en retard. Le 2 janvier, on nous a assuré que le TGV attendrait à Libourne. Résultat, on est descendu du TER, mais le TGV était parti. La seule chose qu'on nous a dite est "remontez vite dans votre train et allez jusqu'à Bordeaux !" » Résultat, deux heures perdues et une arrivée à Paris à 23 h 30 au lieu de 21 h 30. Hier après-midi, excédée, Geneviève est venue inscrire une réclamation sur le registre prévu à cet effet à la gare de Bergerac. « Déjà qu'on n'a plus d'avion vers Paris... Veut-on faire une région encore plus désespérée ? On finit par se demander s'il n'y a pas un conflit entre la SNCF et la Région, et si tout ça n'est pas fait exprès. » Incohérences. Jacquelin va lui aussi se plaindre auprès de la SNCF. Une à deux fois par mois, il fait le voyage entre Gardonne et Paris. Dimanche soir, alors que son billet indiquait un horaire à Gardonne, le train est passé douze minutes plus tôt. Résultat il a dû partir à 5 h 30 hier matin. Ces incohérences entre les horaires donnés par Socrate, le système de réservation de la SNCF, et les horaires effectifs sont fréquentes. « Et en plus, régulièrement, le vendredi après-midi, de nombreux voyageurs sont debout, raconte-t-il. On se croirait dans le métro parisien. » Hier, par exemple, le train quittant Bergerac pour Bordeaux vers 17 h 30 était bondé. « Et, bien souvent, les annonces ne sont pas faites dans les trains », se plaint Patrick, qui circule tous les jours entre Le Buisson et Bordeaux. « Quant aux panneaux lumineux, ils indiquent le terminus, mais pas les gares desservies. » D'autres voyageurs évoquent aussi des trains carrément supprimés au dernier moment sans explications.

27 décembre 2006

Soumensac sous le givre




Photo Robert White

En attendant la neige ! Cela ferait pourtant une belle piste de luge pour les enfants de l'école.