26 décembre 2008

White christmas

Noël sous la neige
Obviously the picture of a white christmas has been shooted by Robert White from the White House. No it's not where Barrack Obama will live but it's where Robert and Penny have their home.
Traduction :
Evidemment cette photo a été prise par Robert Blanc de la Maison Blanche non pas celle où habitera Maison (baraque oups !) OBAMA mais ou Robert et Penny ont La Blancharde.

Un nouveau site de photos


Evidemment les plus perspicaces l'auront reconnu. On l'aperçoit quelque fois -pas assez souvent ! - dans les rues de Soumensac mais on attend encore son reportage. Allez voir sur :

http://www.romaindavid.net/

Appel d'offre pour la réhabilitation du réservoir d'eaux

SYNDICAT DES EAUX DE LA REGION DU NORD DE MARMANDE 997 Avenue du Dr Jean Bru 47000 AGEN Personne responsable du marché : Madame Geneviève LE LANNIC
Procédure de passation : PROCEDURE ADAPTEE Art.28 et 40 du C.M.P
Caracteristiques principales : Dépose et évacuation Mise en conformité des éléments de serrurerie
Objet du marché : Réhabilitation des réservoirs de Virazeil, Cambes et Soumensac (47)
Retrait des dossiers : auprès du Syndicat des Eaux de la Région du Nord de Marmande - 997 Avenue du Docteur Jean Bru - 47000 AGEN Renseignements administratifs : Secrétariat du Syndicat des Eaux du Nord de Marmande à l'adresse ci-dessus Tél : 05 53 68 44 03 - Fax : 05 53 68 44 07 Renseignements techniques : IEI - CABINET MARES 5 Rue Bouaké - BP 3 47301 VILLENEUVE SUR LOT Tél : 05 53 40 04 00 - Fax : 05 53 70 09 92
Date limite de réception des offres : Vendredi 16 juin 2006 avant 16 h 00 Adresse où les offres doivent être envoyées : Syndicat des Eaux du Nord de Marmande 997 Avenue Docteur Jean Bru - 47000 AGENDate d'envoi à la publication : Le Jeudi 11 Mai 2006

21 décembre 2008

Soumensac sur Facebook

Rejoignez le groupe "Soumensac" nouvellement créé sur Facebook. Laissez vos commentaires, vos photos, vos vidéos pour mieux partager la vie du village

http://www.facebook.com/posted.php?id=17400839970&success#/group.php?gid=17400839970

20 décembre 2008


Relevé dans le Sud-Ouest d'aujourd'hui. Achetez le numéro ou allez sur internet

SOUMENSAC.
Les jeunes s'invitent au repas des aînés.
(photo guy brunetaud)

Jeudi dernier, le Centre communal d'action sociale, dirigé par Bernard Patissou, le maire, a organisé une fête intergénérationnelle à l'occasion des fêtes de fin d'années.
Le Conseil municipal et Anne-Mary Bouet, chargée de la commission des affaires sociales, ont réuni pour un repas traditionnel les aînés de plus de 70 ans et les élèves de l'école de Soumensac, dirigée par François Hecquefeuille.
Ce repas familial, concocté par Mmes Lespine et Combaud, a régalé les convives. Un avant-goût des fêtes de fin d'année et une façon de réunir plusieurs générations à la même table.

16 décembre 2008

Travail le dimanche

On a déjà dit que le travail le dimanche ne faisait que déplacer les achats de la semaine vers le dimanche ; qu’il renchérissait le prix des produits puisque le personnel était payé plus cher ce jour là. C’est d’ailleurs la seul raison qui pousse les salariés à travailler le dimanche : gagner un peu plus d’argent quand les salaires sont très bas. On a déjà dit que le travail le dimanche allait porter un coup supplémentaire aux commerces de centre ville en transportant en voiture donc avec des coûts d’essence, de CO2 une clientèle à plusieurs kilomètres à l’extérieur des villes et des villages désertifiant un peu plus ceux-ci. Il désorganise la vie familiale, empêche parents et enfants de se retrouver ensemble ce jour là. Le dimanche devrait être le jour du repos mais d’un repos qui peut être aussi consacré à des activités autres, distractives, sportives, éducatives, culturelles. Le supermarché n’est pas un lieu de divertissement même si souvent il en prend les allures pour mieux attirer le chaland et l’entraîner à consommer plus facilement.
C’est là ou je voulais en venir. Le dimanche est le jour où se produisent nombre de manifestations culturelles. Pour certains, c’est la messe le dimanche matin, pour d’autres et ce n’est pas exclusif, le musée, les expositions, le cinéma, le théâtre – il y a encore des spectacles en matinée le dimanche - les concerts. Le secteur culturel travaille depuis longtemps le dimanche pour le repos et la distraction des citoyens. Multiplier le travail du dimanche c’est lui retirer une partie de sa clientèle. C’est ôter à celle-ci une occasion de voir autre chose de se distraire, de débattre, d’échanger en famille entre soi et avec les autres. C’est une socialisation que n’apportera jamais le chariot poussé dans les allées d’un supermarché. C’est un choix de société.

Signez la pétition contre le travail le dimanche :

http://www.travail-dimanche.com/component/option,com_wrapper/Itemid,116/

15 décembre 2008

Office culturel de la communauté de commune du Pays de Duras
L'assemblée générale se tiendra mardi 16 décembre à 20h30 à la maison de pays. Toutes les personnes désirant s'investir et participer à la vie culturelle du Pays de Duras sont les bienvenues
Combat de La Ragotte
Mercredi 17 décembre à 11 heures (départ mairie de Lévignac de Guyenne à 10h30) aura lieu à La Ragotte le 65e anniversaire des combats de 1943, en présence des autorités. Pour plus de détails sur cette héroïque combat de la Résistance voir l'article du blog du 23 décembre 2006 et l'interview donnée par Yvette Ossard, dernier témoin des faits.
Ski à Duras !
Pas tout à fait mais le ski-club la godille duraquoise organise en janvier, février et mars des sorties au Pas de la Case et Porté Puymorens les week-end. Le prix de ces sorties compris entre 61 et 65 € comprend le transport, le forfait remontées mécaniques, l'assurance, le petit-déjeuner et le déjeuner (la location du matériel non comprise)
Renseignements au 06 82 65 71 17 (heures des repas)

13 décembre 2008


Comité des fêtes
(Photo Annie Collin, fête de la musique 2006)

Hier soir s'est tenue dans la salle du foyer l'assemblée générale annuelle du comité des fêtes de Soumensac devant une assistance nombreuse à laquelle participaient plusieurs nouveaux arrivants dans la commune.
Le bureau sortant, sous la présidence d'Alain Gatel, a remis sa démission après 5 ans passés à organiser fêtes de la musique, vide-grenier, concert (Gospel à l'église), soirées villageoises, choucroute, etc. L'ensemble des participants et le maire, Bernard Patissou ont salué l'action dynamique et imaginative du comité durant son quinquennat. Son président a été particulièrement félicité pour son sens de la diplomatie, qualité nécessaire pour faire avancer les projets avec tous.

C'est une équipe de jeunes qui va prendre la relève avec notamment Mariens Patissou, Romain Combaud et Laurent Bardes. Le bureau sortant a accepté de les accompagner durant cette première année. Il leur passera les dossiers et les aidera à monter leurs premières manifestations. Christine Combaud assistée d'Agnès Gatel font leur entrée au bureau et se chargeront de la trésorerie. Le comité des fêtes a une trésorerie de plus de 6 000 € et posséde quelques équipements nécessaires à son activité : friteuse, machine à bière, etc. pour une valeur d'environ 2 000 €. Lors de sa prochaine réunion, le comité élira son nouveau président et vice-président. Le choix devrait se faire entre Romain et Mariens.



Asociation des Amis de l'église de Monbos
(photo Annie Collin)

S'est tenue ce jour l'AG de l'association qui aide à la restauration de cette église située sur la commune de Thénac en Dordogne. La présidente, Marie-Françoise Chaveneau, a dressé à cette occasion le bilan de l'année 2008 : 4 concerts prestigieux avec des interprètes de renom parfois international rassemblant 400 auditeurs et rapportant au total plus de 4000 € de recettes. Des dépenses de concert couvertes à presque 100 % par la billeterie taux exceptionnel dans le domaine culturel ! Une action envers le milieu rural et la jeunesse saluée par la présence à l'AG du maire de Thénac, Jean-Jacques Chapellet, et du conseiller général, Michel Bourgeois, dont les institutions qu'ils représentent subventionnent les activités de l'association. La notoriété de cette manifestation a également permis de récolter des subventions de privé (Crédit Agricole) pour la restauration de l'église ce qui a financé l'installation d'un éclairage moderne mettant particulièrement en valeur le choeur de l'église et ses chapiteaux romans comme on peut le voir sur la photo jointe.
Face à ce succès, la Présidente a indiqué que selon elle l'association devait développer encore plus son action musicale qui classe les concerts de Monbos parmi les toutes premières manifestations de la Dordogne. Elle a ainsi indiqué qu'elle demanderait d'inscrire dans les statuts cette activité à part entière.
Quatre nouveaux membres du bureau ont également été élus ou réélus, notamment Christian Chaveneau, Jean-Marie Muller (créateur du site Regards écrits).

09 décembre 2008



Marché de Noël
Les marchés de producteurs sont aussi présents à Noël à Fourques sur Garonne
Histoire du tablier

Relevé sur le blog voisin, celui de la vallée du Ciron
http://www.vallee-du-ciron.com/vallee2.htm
cette belle histoire du tablier


Vous souvenez-vous du tablier de votre grand-mère ?
Le principal usage du tablier de grand-mère était de protéger la robe en dessous, mais en plus de cela :
Il servait de gant pour retirer une poêle brûlante du fourneau.
Il était merveilleux pour essuyer les larmes des enfants, et, à certaines occasions, pour nettoyer les frimousses salies.
Depuis le poulailler, le tablier servait à transporter les oeufs, les poussins à réanimer, et parfois les oeufs fêlés qui finissaient dans le fourneau.
Quand les visiteurs arrivaient, le tablier servait d'abri à des enfants timides.
Et quand le temps était frais, grand-mère s'en emmitouflait les bras.
Ce bon vieux tablier faisait office de soufflet, agité au dessus du feu de bois.
C'est lui qui transbahutait les pommes de terre et le bois sec jusque dans la cuisine.
Depuis le potager, il servait de panier pour de nombreux légumes; après que les petits pois aient été récoltés, venait le tour des choux.
En fin de saison, il était utilisé pour ramasser les pommes tombées de l'arbre.
Quand les visiteurs arrivaient de façon impromptue, c'était surprenant de voir avec quelle rapidité ce vieux tablier pouvait faire la poussière.
A l'heure de servir le repas, grand-mère allait sur le perron agiter son tablier, et les hommes aux champs savaient aussitôt qu'ils devaient passer à table.
Grand-mère l'utilisait aussi pour poser la tarte aux pommes à peine sortie du four sur le rebord de la fenêtre qu'elle refroidisse; de nos jours sa petite fille la pose là pour la décongeler.
Il faudra de bien longues années, avant que quelqu'un invente quelque objet qui puisse remplacer ce bon vieux tablier qui servait à tant de choses.
En souvenir de nos grands-mères, envoyez cette histoire à ceux qui savent, et ceux qui pourront apprécier ... l'histoire du tablier de grand-mère.
Transmis par Danièle Marlier.

02 décembre 2008


Soumensac montre l'exemple



Le magazine allemand Stern (tirage 1 million d'exemplaires) a publié le 27 novembre 2008 un article (de Bert Gamerschlag) citant en exemple le marché des producteurs de Soumensac. Pour lire l'article en allemand cliquez sur chaque photo de page qui s'agrandira, pour les autres lecteurs voir la traduction ci-dessous.































La belle vie à la campagne

(traduction Stéphanie et Yves Souron)

Les marchés fermiers sont un symbole d’art de vivre français. Comme par exemple celui de Soumensac, un petit village en bordure du Périgord. Pourquoi une chose pareille n’existe t-elle pas chez nous en Allemagne?

Cinq mètres, c’est le chemin qui vous sépare du bonheur, entre le stand et la table. Et voilà qu’on tient une délicieuse brochette dans la main, on n’en croit pas son palais ! C’est pourtant tout à fait normal - pour les Français en tout cas. D’abord une tranche de magret de canard juteux, salé et sucré à la fois, tendre et résistant en même temps. Et puis un pruneau mi-cuit - violet-noir, crémeux, mûr et fruité. Et enfin une bouchée de foie gras, oh mon Dieu ! C’est, certes, un pêché calorique mais c’est tellement agréable.

On mâche, on avale et puis on se désaltère avec le rosé du vignoble de Soumensac. Et tandis qu’on finit lentement son assiette, les pensées vaquent déjà sur le chemin de retour au bonheur, entre la table et les stands : cinq, six, sept mètres – il y en a tant ! Que va-t-on manger maintenant ? Un quart de pintade grillé (à cinq euro) ? Une brochette de poisson au citron (à cinq euros) ? Des escargots à la bourguignonne (á cinq euros)? Du saucisson de canard (à trois euros) ? De la lamproie aux oignons et au vin rouge (à six euros) ? Des petits poissons frits (à six euros) ? Cela dépend aussi de tous les autres gourmands qui sont déjà là et qui nous tapent sur l’épaule en disant : « Ça alors mon gars, c’est bon tout ça ! Goûte aussi les tartelettes aux framboises. Mais avant tout, prends un peu de pain et de ce fromage-là ! »


« Oui, bien sûr », « d’accord » et « pourquoi pas ? ». C’est un peu difficile quand on ne parle pas très bien le français, qu’on en saisit seulement une partie. Parce que les Français, parlent comme des moulins à paroles! Ils tapent sur la table avec leurs couteaux, font claquer leur langue et chantent à tue-tête, accompagnés par un joueur d’accordéon qui berce avec ses bras les vieux airs d’autrefois. « La mer », « Le temps des cerises », « Ah, si vous connaissiez ma poule !»
Ce pays de cocagne est ouvert à tous. Et les quelques centaines de personnes qui se déplacent chaque dimanche portent l’image du bonheur gastronomique sur le front. Mon Dieu, un marché gourmand tous les dimanches, ça pourrait se faire aussi chez nous ! Dans la région de l’Uckermark par exemple ou dans l’Allgäu. N’y a-t-il personne qui se porterait volontaire pour organiser une telle entreprise? Soumensac nous montre pourtant comment s’y prendre.
C’est un coin perdu au sud-ouest de la France. Rien de bien extraordinaire. Il n’y a pas de plage, de montagne, de vallée, de lac ni de cascade pour attirer les gens. Donc si ce type de marché fonctionne, il semble que cela devrait fonctionner partout. Dans chaque région, sans grands investissements.
Ce qu’on y trouve, c’est une contrée ancienne, venue à la civilisation, avec des bœufs, du vin et des pruniers. Le village n’a pas d’hôtel, pas de bar, pas de café, ni même une superette, mais on peut y louer des maisons très mignonnes. Et malgré tout cela, toute la région se retrouve ici les dimanches d’été pour un festin abondant. Ils viennent de partout et s’assoient à de longues tables sous les tilleuls pour contempler depuis les hauteurs de Soumensac les alentours de leur région.
Cet enchantement s’appelle « Marché fermier ». On y vend (à la différence de chez nous) des produits déjà cuisinés. C’est une ripaille, « la grande bouffe », et ça peut durer des heures. Jusqu’à ce que tout le monde soit rassasié (et bien sûr aussi désaltéré avec un bon verre de vin) et se retire pour faire une sieste méritée. Car la soirée approche et on veut être en forme pour le prochain repas, « n’est-ce pas » ?

Dès six heures du matin, on voit le maire du village sur son tracteur. Il apporte les tables, déplie les chaises ; puis les marchands arrivent, installent leurs tréteaux et montent leur stand : Le vendeur de légumes, la fromagère, le producteur de foie gras, la marchande de frites. Le rôtisseur met en marche son grill, dispose les volailles sur la broche : de bons poulets élevés en pleine nature ! Monsieur cuit des petits gâteaux épais à la citrouille, Madame des crêpes fines. Un couple Britannique, venu s’installer ici, vend des framboises et des cassis sous forme de tartelette ou en crumble (on prononce ça ici « Krömmböll »). Sans oublier les vignerons locaux bien sûr.
De dix heure à midi, on vend de la marchandise emballée : du pâté, du foie gras, de l’huile aux pruneaux, du poulet farci crû (sans les pattes, roulé et emballé sous vide), du fromage, de la confiture, du gâteau, du pain bien sûr, de la salade, des fruits et des légumes, tout ça en qualité bio. On emmène vite les marchandises au frigo et à midi on est de retour pour s’asseoir à une table avec son tire-bouchon, ses verres, ses assiettes et ses couverts et pour enfin savourer. Ah, la belle vie !

Tout se passe sous le parrainage de la Chambre d’Agriculture, avec une Charte qui fixe des normes de qualité. Si on veut participer, il faut signer cette Charte. Le comité du marché fermier choisit les producteurs ainsi que leur emplacement, et répartit les rôles (installations du marché, nettoyage…). À la fin de la saison on fait le bilan : Qu’est-ce qui a marché, comment on peut améliorer les choses l’année suivante ? Seuls les producteurs sont acceptés, les commerçants qui achètent en grande surface et revendent ne peuvent pas participer.

Parce que les entreprises de ces producteurs sont trop petites pour exporter, le « Stern » a fait des achats pour vous à Soumensac et a composé un panier gourmand, qui rassemble les goûts du marché d’été de Soumensac … au moins en partie ... Le contenu cadre bien avec Noël, mais toutes ces choses pourront se conserver facilement plus longtemps. Chaque panier contient six produits : Une bouteille d’huile aux pruneaux qui sent la pâte d’amandes et avec laquelle on peut réussir des vinaigrettes inoubliables. 500 grammes de prunes mi-cuites (qui n’ont rien à voir avec ces prunes séchées allemandes que l’on mange contre la constipation intestinale). « Mi-cuit » veut dire que la prune est passée quelque temps au four pour concentrer les arômes. Elle peut se conserver longtemps sans être coriace ni sèche. 200 grammes de foie gras de canard en conserve (les Français le mangent souvent de cette façon). Trois bouteilles de vin rouge du vignoble bio « Mouthes Le Bihan » situé au pied de la colline de Soumensac, dont une 2006 « Viellefont » et deux de qualité supérieure 2006 « Les apprentis ». Comme il s’agit de petits producteurs, le nombre de paniers est restreint : Nous avons 600 paniers à 99 Euros, tout compris. Sur le web (www.stern.de/foodplus), vous trouverez des recettes pour cuisiner les prunes, ainsi qu’une vinaigrette à l’huile aux prunes, une proposition pour la présentation du foie gras et une description des vins.

On peut venir au marché de Soumensac pour quelques heures ou pour y passer ses vacances, mais cela demande au moins une semaine – avec location d’une maison. Il y en a quatre très mignonnes.

Bert Gamerschlag

01 décembre 2008


Les églises romanes "plaquées"

Ce courrier a été adressé à Monsieur ou madame l'architecte des bâtiments de France du Département de Lot et Garonne le 21 octobre dernier. En l'absence de réponse de sa part je le publie ce jour sur le blog en espérant susciter une réaction de lecteurs ou de l'administration...

Monsieur Madame,
Les églises, mêmes romanes, des environs de Miramont de Guyenne, La Sauvetat du Dropt, etc. sont depuis quelques temps "taguées" par une plaque en marbre noir ressemblant au mieux à une enseigne commerciale au pire à une plaque funéraire indiquant la paroisse dont elle dépendent. L'effet est désastreux. Je ne pense pas qu'il soit autorisé d'apposer ainsi des plaques sur des monuments dont certains sont classés. J'ai pris une photo de celle d'Iffour.
Je vous remercie de m’indiquer ce que vous comptez faire pour rendre leur intégrité à ces monuments du patrimoine.
Je vous assure, Monsieur, madame de mes salutations cordiales.
Nous restons dans l'attente d'une réponse de l'administration...

« Fiers d’être aquitains"


Le Conseil régional d'Aquitaine ouvre ses portes au public le vendredi 12 et le samedi 13 décembre 2008, sur le thème « Fiers d’être aquitains".
Vous trouverez le programme de ces deux journées, en cliquant sur le lien ci-dessous :


Cliquez sur la photo ci-contre à gauche pour l'agrandir et lire le programme