25 février 2009

Folies Vigneronnes


Théâtre de la Rampe de Montpellier

Vendredi 6 mars 2009 à 21h
Salle des Fêtes
Pellegrue






Lo vin, lo vin, que n'i a per tot lo monde
Lo blanc sus lo rotge, plus rien ne bouge,
Lo vin, lo vin, que n'i a per tot lo monde
Lo rotge sus lo blanc, et là, tout fout le camp !

La Méditerranée a fait naître une civilisation de la vigne et du vin. Elle lui a donné un dieu, Dionysos, né de la terre et du ciel. Dionysos, dieu de passion plus que de raison. Aicí en païs nòstre, la vigne et le vin ont fait naître un langage, un biais de viure entre los òmes.
Les crises

Production ! Surproduction ! Dépression ! Surpression !On plante ! On arrache ! On replante ! On escampe !

2000 ans de cycles récurrents pour un vignoble occitan qui peut produire l'excellence ou la piquette, au gré d'une économie menée par les seules lois du profit.Modernité, progrès : Comme pour l'industrie, le vignoble a su prendre les virages des nouvelles technologies, développement des transports, multiplication des échanges, adaptation au marché. Tout circule, les hommes, les idées, les maladies et les parasites...Fortunes, misères : Les malheurs des uns font le bonheur des autres. Avec la crise du phylloxéra, certains départements perdent tout leur vignoble, d'autres en profitent pour augmenter leur bénéfice.Printemps 1907 : le peuple du Midi se retrouve une nouvelle fois pour crier sa détresse face à la mévente du vin, son inquiétude vis-à-vis de la crise viticole et faire entendre sa colère contre les fraudeurs du Nord et les trafiquants de vin. "A mort les fraudeurs, vive le vin naturel ! Tous unis pour sauver notre vigne nourricière !"
Strass et paillettes

Torna, bolega, e manja e beu,Roja lo sang, lo fuòc, lo vin,
Crida, canta, viravoleja,
Plaser, amor, ivressa e joia !
Revue populaire qui chante et qui rit, "parada descabestrada", Folies Vigneronnes fait le choix du cabaret pour retracer les grandes étapes de la viticulture méridionale, depuis l'Antiquité jusqu'aux millésimes d'aujourd'hui. Entre "vergonha" et "fiertat", l'histoire des hommes et du vin, révélée par les paillettes.


Distribution :
Ecriture : Bruno Cécillon d'après un texte d'Anne Clément
Direction d'acteurs : Gérard Santi
Comédiens : Bruno Cécillon, Marie-Pierre Loncan, Christine Chantelouve, Sergio Perera
Scénographie, affiche : Daniel Fayet
Création musicale : Sergio Perera, Marie-Pierre Loncan
Création lumière, régie plateau : Sergio Perera
Assistante plateau : Magali Noulin
Costumes : Céline Arrufat
Diaporama 1907 : Frédéric Petit d'après les photos d'Henri Sallis
Conseil artistique magie : Claude DelsolCollaboration artistique : Véronique Valéry
Coordination générale : Bruno Cécillon
Photographe : Marc Ginot

24 février 2009

Antenne WIMAX sur la commune de Saint-Jean de Duras (suite)

On nous signale qu'une réunion d'information sur le projet d'installation d'une antenne WIMAX se tiendra ;

mercredi 25 février à 14 heures
à la mairie de Saint Jean de Duras.
Sont invités les maires de communes concernées :
Soumensac, Saint Jean de Duras et Loubès- Bernac
l'opérateur pour le WIMAX
un représentant du Conseil Général de Lot et Garonne

Compte tenu de l'importance du projet et de l'impact sur le pays, toute la population est invitée à y participer.

22 février 2009

Inventaire historié des maisons de Soumensac. N °1 la rue de la poste ou du château

Nous commençons aujourd'hui la publication d'une nouvelle chronique en forme d'inventaire historiée des maisons de Soumensac. Lorqu'une photo ancienne existe, on la mettra en pendant. Commençons par la rue que nous appellerons rue du chateau comme sur une vieille carte postale ou sur une autre, qui veut faire plus simple, rue de la poste. Elle ne s'est jamais appelée rue des notaires, Pierre Bommartin, puis Joseph Biraben dont c'était la maison et l'étude, à droite en entrant dans le village quand on vient d'Eymet. Sur une vieille carte postale, Me Bommartin s'est représenté, à gauche, à l'ombre d'un figuier. La maison a brûlé au milieu du XIXe siècle et a été reconstruite et agrandie après l'incendie. Son toit en tuile mécanique rouge date du début du XXe siècle.

En montant la rue, en face, se trouve "chez Pontet". On ignore qui est ce Pontet qui a légué son nom à cette maison typiquement XVII avec sa porte à pans coupés et ses fenêtres à large rebord sur lequel un marchand (de quoi ?) posait son étal offert aux chalands.
Après chez Pontet, se trouvait dans cette maison à un étage un travail pour les boeufs. Les animaux rentraient par cette large ouverture maintenant transformée en porte fenêtre. Les boeufs étaient utilisés à la campagne comme animaux de traction et devaient être férrés.
En face, sur le côté droit en montant la rue une maison qui n'est plus hâbitée depuis la dernière guerre. Elle a accueilli à cette époque des alsaciens.















En traversant la rue côté gauche, on trouve la maison du célèbre Maneyrol. Elle s'appellait « Au dernier cri du cycle », l’homme savait tout faire. Aucune technique ne lui était étrangère. Son enseigne n'en citait que quelques unes : zinguerie, pompes, agence de cycles, moto-cycles Peugeot et autres marques, automobiles, vente échange, réparation, installation d’appareil à acétylène, dépositaire des journaux La Dépêche et la petite Gironde, café et j’en oublie sûrement.

Cette maison a beaucoup changé. Des ouvertures ont été percées. Elle possédait encore il y a peu, à la place de la fenêtre de gauche, une superbe porte en pierre XVII qui est partie dans une autre maison de la commune. C'était la bergerie de M. Blanco qui habitait un peu plus haut à gauche. Le matin on entendait ses moutons dévaler la rue avec un bruit de pluie.

Belle maison XVII ou XVIII sur la facade de laquelle on distingue encore (fenêtre de gauche) les restes des pierres d'une arcade. Dans les nnées 50, les Pouget l'habitaient.









En face sur le côté droit de la rue, faisant l'autre angle avec la bergerie de M. Blanco se tient la maison Azera, du nom d'un postier qui est resté plusieurs dizaines d'années à la recette postale de 5éme catégorie de Soumensac. Quand il a pris sa retraite il a acheté cette maison qui est mitoyenne avec son ancien lieu de travail.






En face de chez lui, dans ce qui est aujourd'hui le musée de l'outil se tenait la boutique du boulanger. le fournil s'ouvrait dans la ruelle. Le dernier à exercer ce métier était M. Large. Pendant l'été, on allait l'après-midi écouter l'émision radio sur le Tour de France. Le dimanche, il faisait des choux à la crème.

On retraverse la rue, en face se tenait autrefois le bureau de poste avec au premier étage le logement de fonction du receveur. on a déjà parlé de son avant dernier titulaire, M. Azera. A l'intérieur, à droite,une banque en acajou ouvragée accueillait le client, on disait alors l'usager. En face de la porte tronait une superbe cabine téléphonique dans le même bois avec une porte vitrée et un petit banc pour se reposer lors des longues conversations. Longues elles pouvaient l'être mais confidentielles sûrement pas. La porte fermait difficilement et si on réussissait cette opération on risquait rapidement la suffocation surtout en été, aucune ventilation n'ayant été prévue. Dans ces conditions, il était habituel que tout le voisinage profite des dernières nouvelles. Au début du XX siècle, le départ du courrier constituait encore une attraction qui méritait sa carte postale. On se faisait photographier à côté de la voiture. A cette époque les bâtiments étaient fleuris avec glycine et rosiers.
En face de la poste habitaient M. et Mme Blanco jusque dans les années 80. M. Blanco a d'abord été jardinier au château et habitait la maison en face puis berger ; on a vu sa bergerie un peu plus bas et enfin maçon. A cette époque on ne déménageait pas bien loin à Soumensac. Quand on était de la ville basse on y restait. C'est ainsi qu'on appellait cette partie du village avant la Révolution. M. Blanco avait épousé une fille Jabot dont les parents qu'on voit sur cette carte postale tenaient épicerie. On verra qu'il y en avait plusieurs au début du XXe siècle à Soumensac.

Cette batisse, dépendance du château a été occupée par la famille Blanco à son arrivée à Soumensac dans les années 30. On remarquera son beau toit pointu de style périgordin en tuiles plates.

Le château, construit au XVIII siècle par la famille Chillaud a eu plusieurs propriètaires ultérieurement. Un numéro lui sera spécialement consacré
On se contentera de constater les modifications des fenêtres du toit. Les anciennes typiquement XVIII se sont éffondrées au début du XXe siècle pour laisser place aux chien assis en bois façon villa de Deauville.

19 février 2009

Printemps des poètes

vendredi 13 mars à 20h30
Bibliothèque municipale de Duras
Printemps des Poètes en rires

Le "Printemps des Poètes" est une manifestation nationale annuelle. Cette année le thème est le rire en poésie. Chacun peut participer à la soirée. Entrée libre bien sûr. Des poèmes seront disponibles sur place mais chacun peut apporter sa "musette" de textes ou de poèmes humoristiques à lire sur place.
La bibliothèque proposera des poèmes à emporter à tous les participants. Ils sont déjà disponibles sur le site du Printemps des Poètes.... Allez directement à la rubrique Passeurs de Poèmes
http://www.printempsdespoetes.com/index.php

Bibliothèque muncipale
25 rue Paul Persil
47120 Duras
Contacts : Véronique Todesco
05 53 64 92 72 ou bibliotheque.duras@wanadoo.fr

Antenne WIMAX sur la commune de Saint-Jean de Duras

Mme Auriac Serra 05 53 20 91 70 nous communique le point de vue suivant sur la dangerosité des antennes WIFI et WIMAX

Les ondes de la téléphonie mobile et Wifi et Wimax, attaquent les êtres vivants parce qu’elles sont pulsées, c’est à dire émises par saccades très brèves. Nous vous rappelons que deux antennes pour la téléphonie mobile sont déjà implantées sur nos communes, une à Soumensac, l'autre à Loubès Bernac et une future antenne Wimax pour l'internet va s'implanter tout près de celle de Soumensac, près du Petit Truchasson et de Lescarot.
Il ne suffira pas seulement d'effectuer une promenade sur cette superbe route entre Loubès Bernac et Soumensac pour être affecté par ces implantations d'antennes, mais aussi être dans son jardin, dans sa maison, dans les écoles nous expose déjà de plein fouet aux ondes électromagnétiques de ces antennes plus que néfastes ! pourtant nous vivons à la campagne, loin de la pollution ...
Les dangers sur la santé des ondes électromagnétiques antennes WIMAX, TELEPHONIE MOBILE:
- perte d’étanchéité de la barrière sang-cerveau,
- perturbation de production de la mélatonine (sommeil, système immunitaire...)
- perturbation des régulations membranaires des cellules,
- altérations non réversibles de l’ADN.
Avec pour conséquences:
A court terme:
- dépression, maux de tête, troubles du sommeil, irritabilité, vertiges et chutes, pertes de concentration, troubles cardiaques et de tension, maladies de peau, troubles des rythmes du cerveau, attaques destructrices des organes des yeux et des oreilles.
- A plus ou moins long terme:
- cancers du cerveau, cancer du sang, cancer du système lymphatique, cancer des endocrines et surtout de la thyroïde, épilepsie, interruptions de grossesse et malformations.
source : LE Monde de l’intelligence n°12 avril-mai-juin 2008

Jean Desessard, sénateur de Paris, se réjouit de la suspension du wifi dans certaines bibliothèques parisiennes, suite à la mobilisation des salariés inquiets pour leur santé. Maux de tête, vertiges, nausées, fatigue... : le développement des mêmes symptômes simultanément chez les salariés d’un même lieu au moment de l’introduction d’une nouvelle technologie est une coïncidence troublante. Surtout quand ils touchent 40 % du personnel. Contrairement à ce qu’a déclaré l’attaché de presse de la mairie de Paris, les salariés inquiets ne sont pas irrationnels, et leurs interrogations, en l’absence de consensus scientifique, sont parfaitement légitimes.
Pas de Wifi dans les bibliothèques parisiennes ! Tel est en substance adopté le 28 novembre 2007 par le Comité hygiène et sécurité (CHS) de la direction des affaires culturelles de la ville de Paris. Un avertissement fort, fondé sur le risque sanitaire. Tandis que certaines grandes villes comme Nantes ou Lyon envisagent une pleinne couverture Wifi, Le Mans rejoint la position parisienne et refuse l’internet sans fil à sa médiathèque. Ce mouvement "de précaution" pourrait remettre en cause l’équipement des écoles en Wifi. Nîmes par exemple se pose la question.
(...)
source : LE Monde de l’intelligence n°12 avril-mai-juin 2008
Appliquer le principe de précaution, à valeur constitutionnel depuis 2005, ne signifie pas condamner par principe et à tout jamais une nouvelle technologie. Mais cela implique d’en suspendre la généralisation jusqu’à ce que des études approfondies en prouvent l’innocuité.
La technologie ne se limite déjà plus à quelques « box » individuelles ayant une portée de quelques dizaines de mètres. De puissants réseaux urbains se répandent sur la planète ; et ces bornes ou antennes installées sur les façades d’immeubles ou les lampadaires et mises en réseau atteignent alors des portées qui se comptent en centaines de mètres, voire en kilomètres.

AILLEURS EN EUROPE
Nouvel écho de ces craintes, le débat sur le possible bannissement des systèmes wi-fi dans les écoles en Grande-Bretagne. De son côté, le gouvernement allemand, vient de déconseiller l’usage du wi-fi à domicile et de « de préférer autant que possible l’utilisation de solutions filaires traditionnelles plutôt que de connexions sans fil »

Et en Belgique ? « Nous travaillons actuellement sur une nouvelle note consacrée à cette question, explique le professeur André Vander Vorst, membre du Conseil supérieur de la santé (CSS) en Belgique et au Pays-Bas. Elle devrait aboutir en décembre. Je rappellerai simplement que, si on veut agir de manière prudente, il convient de considérer la somme de l’exposition à laquelle un individu peut être soumis. C’est pourquoi le conseil supérieur fédéral avait recommandé en 2004 de ne pas dépasser 3 volts par mètre – en aucun endroit et à aucun moment »

Mme Auriac Serra 05 53 20 91 70
pour signature de la pétition

Portraits des personnages de Marcel Proust

Un ami de Soumensac, David Richardson, qui a fréquenté notre village il y a quelques années vient de terminer un travail sur les portraits des personnages de La Recherche du Temps Perdu de Marcel Proust. Evidemment chacun se les imagine de sa propre façon mais le résultat est superbe. Allez sur le site.
http://resemblancetheportraits.blogspot.com/
Vous pouvez aussi aller voir d'autres oeuvres de cet artiste dans les archives du blog catégorie "peintres"

18 février 2009

Les premières publicités

Robert White a retrouvé une carte postale publicitaire du début du XXe siècle (l'entrée du cuvier). C'est à cette époque qu'apparaissent les premières publicités -on disait à l'époque : réclames. Le marquis de Boëry avait inauguré le procédé à Soumensac avec une série de cartes postales vantant son vin, son domaine et les endroits pittoresques du village. Il sera bientôt suivi par Pierre Bommartin, son concurrent en vin et à la mairie et Paul Sorbié qui vend des pruneaux.













13 février 2009

Galette et jeux de société le 28 février

Grande soirée Galette
jeux de sociétés
samedi 28 février 2009 à partir de 21 h.

Apporter des jeux de cartes et tous vos jeux de sociétés, ceux qui dorment dans des placards depuis Noël et ne demandent qu'à prendre un peu l'air : Monopoly, Cluedo...
Confirmer votre présence auprès des membres du comité des fêtes, organisateur :

Christine Combaud : 0553890367
Valérie Charrier : 0674350918
Laurent Bardes : 0674239494