Mme Auriac Serra 05 53 20 91 70 nous communique le point de vue suivant sur la dangerosité des antennes WIFI et WIMAX
Les ondes de la téléphonie mobile et Wifi et Wimax, attaquent les êtres vivants parce qu’elles sont pulsées, c’est à dire émises par saccades très brèves. Nous vous rappelons que deux antennes pour la téléphonie mobile sont déjà implantées sur nos communes, une à Soumensac, l'autre à Loubès Bernac et une future antenne Wimax pour l'internet va s'implanter tout près de celle de Soumensac, près du Petit Truchasson et de Lescarot.
Il ne suffira pas seulement d'effectuer une promenade sur cette superbe route entre Loubès Bernac et Soumensac pour être affecté par ces implantations d'antennes, mais aussi être dans son jardin, dans sa maison, dans les écoles nous expose déjà de plein fouet aux ondes électromagnétiques de ces antennes plus que néfastes ! pourtant nous vivons à la campagne, loin de la pollution ...
Les dangers sur la santé des ondes électromagnétiques antennes WIMAX, TELEPHONIE MOBILE:
- perte d’étanchéité de la barrière sang-cerveau,
- perturbation de production de la mélatonine (sommeil, système immunitaire...)
- perturbation des régulations membranaires des cellules,
- altérations non réversibles de l’ADN.
Avec pour conséquences:
A court terme:
- dépression, maux de tête, troubles du sommeil, irritabilité, vertiges et chutes, pertes de concentration, troubles cardiaques et de tension, maladies de peau, troubles des rythmes du cerveau, attaques destructrices des organes des yeux et des oreilles.
- A plus ou moins long terme:
- cancers du cerveau, cancer du sang, cancer du système lymphatique, cancer des endocrines et surtout de la thyroïde, épilepsie, interruptions de grossesse et malformations.
source : LE Monde de l’intelligence n°12 avril-mai-juin 2008
Jean Desessard, sénateur de Paris, se réjouit de la suspension du wifi dans certaines bibliothèques parisiennes, suite à la mobilisation des salariés inquiets pour leur santé. Maux de tête, vertiges, nausées, fatigue... : le développement des mêmes symptômes simultanément chez les salariés d’un même lieu au moment de l’introduction d’une nouvelle technologie est une coïncidence troublante. Surtout quand ils touchent 40 % du personnel. Contrairement à ce qu’a déclaré l’attaché de presse de la mairie de Paris, les salariés inquiets ne sont pas irrationnels, et leurs interrogations, en l’absence de consensus scientifique, sont parfaitement légitimes.
Pas de Wifi dans les bibliothèques parisiennes ! Tel est en substance adopté le 28 novembre 2007 par le Comité hygiène et sécurité (CHS) de la direction des affaires culturelles de la ville de Paris. Un avertissement fort, fondé sur le risque sanitaire. Tandis que certaines grandes villes comme Nantes ou Lyon envisagent une pleinne couverture Wifi, Le Mans rejoint la position parisienne et refuse l’internet sans fil à sa médiathèque. Ce mouvement "de précaution" pourrait remettre en cause l’équipement des écoles en Wifi. Nîmes par exemple se pose la question.
(...)
source : LE Monde de l’intelligence n°12 avril-mai-juin 2008
Appliquer le principe de précaution, à valeur constitutionnel depuis 2005, ne signifie pas condamner par principe et à tout jamais une nouvelle technologie. Mais cela implique d’en suspendre la généralisation jusqu’à ce que des études approfondies en prouvent l’innocuité.
La technologie ne se limite déjà plus à quelques « box » individuelles ayant une portée de quelques dizaines de mètres. De puissants réseaux urbains se répandent sur la planète ; et ces bornes ou antennes installées sur les façades d’immeubles ou les lampadaires et mises en réseau atteignent alors des portées qui se comptent en centaines de mètres, voire en kilomètres.
AILLEURS EN EUROPE
Nouvel écho de ces craintes, le débat sur le possible bannissement des systèmes wi-fi dans les écoles en Grande-Bretagne. De son côté, le gouvernement allemand, vient de déconseiller l’usage du wi-fi à domicile et de « de préférer autant que possible l’utilisation de solutions filaires traditionnelles plutôt que de connexions sans fil »
Et en Belgique ? « Nous travaillons actuellement sur une nouvelle note consacrée à cette question, explique le professeur André Vander Vorst, membre du Conseil supérieur de la santé (CSS) en Belgique et au Pays-Bas. Elle devrait aboutir en décembre. Je rappellerai simplement que, si on veut agir de manière prudente, il convient de considérer la somme de l’exposition à laquelle un individu peut être soumis. C’est pourquoi le conseil supérieur fédéral avait recommandé en 2004 de ne pas dépasser 3 volts par mètre – en aucun endroit et à aucun moment »
Mme Auriac Serra 05 53 20 91 70
pour signature de la pétition
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