Hier M. Borloo a fêté l'anniversaire de la loi de séparation de l'église et de l'Etat à laquelle on est tant attaché en France. Un ami italien me signalait le paradoxe actuel de cette loi qui oblige les collectivités locales et l'Etat pour ce qui concerne les cathédrales, à entretenir un patrimoine de plusieurs dizaines de milliers d'édifices cultuelles dont peu ont un intérêt historique ou culturel. Les impôts servent bien souvent à conserver des centaines de milliers de m2 la plupart du temps vides.
En Italie au contraire, l'église gère son propre patrimoine achète et vend quand elle ne peut pas subvenir à l'entretien. Des églises sont ainsi transformées en appartement, en bureaux voire en boites de nuit. Finalement n'est-ce pas une meilleure affectation des ressources ?
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